tag:blogger.com,1999:blog-5208662553378077600.post2861841698889933746..comments2023-02-21T15:53:29.182+01:00Comments on Mon Cinématographe: Billet de (très) mauvaise humeurMon Cinématographehttp://www.blogger.com/profile/05598449479910609331noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-5208662553378077600.post-13328518479318665342011-08-23T13:49:28.298+02:002011-08-23T13:49:28.298+02:00Vous avez à la fois raison et moi aussi j'ai é...Vous avez à la fois raison et moi aussi j'ai été très agacée par ce film, mais à la fois tort car vous passez à côté de quelques petites choses sensibles et très réussies (ce qui n'en fait pas un bon film, mais qui donne envie d'aller voir le suivant de MHL) ex : le fait justement que la jeune fille ne change jamais : elle porte les mêmes fringues, ne vieillit pas, quand elle se coupe les cheveux cela ne fait pas naturel, c'est bien vu : elle ne passe pas à l'age adulte et garde uniquement le niveau fusionnel ou paternel/maternel de la relation amoureuse. MHL le fait vraiment bien sentir dans cette permanence de l'adolescence qui nous donne un sentiment d'étrangeté. C'est surement comme ça que la jeune fille se voit. Une jeune fille qui n'arrive pas à s'affirmer et à communiquer avec les autres (cf avec sa mère, son père, son frère qui sont des ombres avec lesquels elle n'a pas de vraie discussion ni échange - autre ex : elle semble habiter chez son mari) ni passer à l'âge adulte, c'est plus ça le sujet qu'un amour de jeunesse en fait. SophieAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5208662553378077600.post-71384623701715962032011-08-11T13:49:52.744+02:002011-08-11T13:49:52.744+02:00Un amour de jeunesse dispose, à mon sens, de la do...Un amour de jeunesse dispose, à mon sens, de la douceur qui manque à tant de films du genre. C'est un drame poignant, qui se termine sur un non-dit bouleversant (affronté l'avenir par le passé). La mise en scène ose des figures souvent interdites (le long monologue du professeur sur l'art) qui pimentent le déroulement de l'intrigue de manière très intelligente. Lola Créton est sublime et tellement sincère qu'elle semble avoir vécu cette histoire teintée d'une amertume tenace et irréfutable: l'amour ne se meurt que dans le propos, jamais dans les faits.cinemariumhttp://www.cinemarium.frnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5208662553378077600.post-10287265356688377222011-08-03T11:13:31.556+02:002011-08-03T11:13:31.556+02:00Certes, passés les trois premiers quarts d'heu...Certes, passés les trois premiers quarts d'heure du film de Hansen-Love, je n'ai pu que me laisser envahier complètement par la causticité contre laquelle je luttais au début du film (soit à partir du moment ou le dernier noeud dramatique gros comme une maison se fait jour, à savoir la mère du premier amour croisée dans le bus [bin voyons]) ; cependant, soyons objectifs : pour un film *français* réalisé *aujourd'hui en 2011* par une *femme* de *trente ans*, il faut bien reconnaître qu'Un amour de Jeunesse échappe de A à Z à la moindre tentation d'*auteurisme-préfabriqué-post-2000-à-la-C.-Honoré* ; ne serait-ce que par cette exemption absolue de caricature - mais non pas de maladresse, de vacuité, d'effets ridicules : je vous le concède -, le film de Hansen-Love gagne au moins à être connu pour sa naïveté presque rafraichissante [en matière de dramaturgie, entre autres] (même si c'est précisément ce qui en fait un film raté). Plus qu'une nullité prétentieuse (Un amour de jeunesse est à mon sens largement plus 'à côté de la plaque' que 'prétentieux'), le film de Mia Hansen-Love est parfaitement inutile et insignifiant.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5208662553378077600.post-9499710973620158782011-08-02T01:02:19.095+02:002011-08-02T01:02:19.095+02:00pendant qu'on y est moi aussi ( vu cet aprem, ...pendant qu'on y est moi aussi ( vu cet aprem, dans des conditions un peu similaires - j'aime bien tester différents cinéma et faire des expériences donc quoiqu'il en soit, je ne vais pas regreter, d'autant que le film est certes sensible, la fille charmante, ça change de certains blockbusters ... Mais film qui m'a profondément ennuyé aussi par sa vacuité. Je plussoie sur les différences avec Tree of life de Malick ( étant un fervent admirateur du cinéma de Malick je ne peux qu'approuver ; d'ailleurs Tree of life, contrairement aux autres que j'adore, j'ai été déçu, et je comprend qu'il divise, mais ça joue dans une autre catégorie, c'est clair. Un amour de jeunesse j'y suis allé pas mal guidé par les critiques j'avoue. Je me retrouve dans votre analyse.phoenlxhttp://ayakos.yellis.net/forum/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5208662553378077600.post-11461762966457833062011-07-31T12:11:02.364+02:002011-07-31T12:11:02.364+02:00Je partage votre mauvaise humeur! Merci de me rass...Je partage votre mauvaise humeur! Merci de me rassurer, je me sentais un peu seul...Orfilanoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5208662553378077600.post-7557500826758302732011-07-17T17:03:58.915+02:002011-07-17T17:03:58.915+02:00je me permets de ne pas être d'accord avec vot...je me permets de ne pas être d'accord avec votre critique . J'avais beaucoup aimé le père de mes enfants et c'est la raison pour laquelle j'avais envie de voir ce film là, d'y aller les yeux fermés en confiance en ayant à peine lu ou entendu les critiques bonnes ou mauvaises qui entouraient le film . Je trouve que c'est un film sensible et qui parle encore une fois du fait de l'idée de la perte et du deuil comme dans l'oeuvre précédente . Il y a à chaque fois comme un cheminement initiatique qui permets de grandir et d'aller vers l'inconnu . Rien n'est gratuit dans les signes et dans les plans à mon sens.<br />Par contre the tree of live m'avait laissé sur ma fin( faim) et je n'étais pas loin en effet de penser que c'était une supercherie.Anonymousnoreply@blogger.com